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Editorial
L’artiste d’origine argentine Tomás Sarraceno s’intéresse de près à la relation complexe et inégale entre l’homme et l’environnement.
L’engagement écologique du projet présenté à la Serpentine Gallery s’incarne non seulement dans l’installation de sculptures-habitats dans les parcs royaux, mais aussi dans la conception d’un catalogue destiné à minimiser l’empreinte carbone de sa production. Partant de ce principe, un papier fait main spécifique a été commandé au Museu Molí Paperer de Capellades, composé de 17 graines de fleurs indigènes. La couverture peut être « découpée » en utilisant les morceaux de papier comme des graines à planter.
Exposition organisée par Lizzie Carey-Thomas et Chris Bayley.
Photographies: Jonás Bel